Nous vous l’avions annoncé, Adrexo se lancera bien dans un fort développement de l’activité courrier, mais aussi dans la distribution de courriers recommandés.
C’est une activité en cours de développement et structuration.
Le courrier devient un volet important de l’activité des distributeurs qui s’ajoute à l’activité habituelle de distribution des imprimés publicitaires.
En mutualisant, avec le même distributeur, la distribution des deux produits, l’entreprise peut rentabiliser son action. Les frais de déplacements, par exemple, déjà payés pour l’activité habituelle, n’ont pas à être payés de nouveau comme cela serait le cas avec deux salariés.
Le pari, engagé par les deux actionnaires de l’entreprise, consiste à développer ce service pour faire revenir l’entreprise à la rentabilité. Il peut s’avérer largement rentable sur certaines zones et beaucoup moins sur d’autres, l’ensemble générant un équilibre positif pour l’entreprise.
Bien entendu, cette activité nécessite des changements d’organisation pour nous mais procure aussi un moyen de valoriser notre travail qui est parfois mal considéré.
Et le recommandé ?
Le recommandé est un produit « courrier » qui nécessite un suivi plus précis et surtout de rencontrer le destinataire pour lui remettre la lettre. Cette démarche est difficilement intégrable dans une tournée de distribution d’imprimés publicitaires.
Ce seront donc les salariés des colis qui s’en chargeront.
Naturellement habitués à remettre des colis aux clients, à les aviser éventuellement, ils seront tout à fait à même de remettre des plis recommandés, chaque jour.
C’est donc avec une synergie entre Adrexo et Colis Privé, autre entreprise du groupe (hopps), que cette activité sera développée. Les deux entreprises sont titulaires d’une licence postale et peuvent légitimement s’intéresser à ce marché porteur.
Car, bizarrement, les clients acceptent de payer plus cher pour une lettre recommandée que pour un colis suivi, pourtant plus lourd et nécessitant une logistique plus forte.
L’explication réside sans doute dans le fait de l’absence de concurrence sur le recommandé qui autorise une tarification outrancière de l’opérateur historique.
L’activité reposera également sur les « Hopps store », relais colis et courriers, composés des magasins de presse dont nous vous avons déjà parlé.
En savoir plus sur Syndicat C.A.T. Milee (ADREXO)
Subscribe to get the latest posts sent to your email.
Vous parlez de gros volume en matiere de courrier, mais pour l’instant se ne sont que quelques courriers que nous distribuons sur les dépots de
Grigny, Reventin et Davézieux. A quant ses fameux gros volume?
Quand aux colis, tout était en place dans le relais mais cela a été abandonné.
Bonjour.
C’est vrai que les agences ne sont pas toutes logées à la même enseigne. Pour le courrier, l’activité n’est pas, pour le moment, la même partout et c’est normal. Rien de très inquiétant. Il y a des agences, près de celles que vous nommez, qui sont bien plus « gâtées » en courrier pour des raisons de zones prédéfinies par les clients notamment.
Pour le colis, c’est une question de rentabilité. Si les codes postaux ne sont pas rentables, l’activité ne démarre ou est abandonnée. Cela arrive ailleurs que chez vous mais il n’est pas impossible que l’activité colis revienne pour de bon dans votre agence, cela s’est déjà vu.