Eric PAUMIER fait partie de la brochette de nos actionnaires, avec Frédéric PONS et Guillaume SALABERT (P.P.S).

Il vient de recevoir, le 22 juillet dernier, un DCF AWARDS, attribué par les dirigeants commerciaux de France, afin de récompenser la croissance commerciale du groupe Hopps !

Non, ce n’est pas une blague !!

Bon, il faut relativiser, un DCF AWARDS, ce n’est pas la médaille du mérite, juste un trophée délivré entre copains du club des D.C.F., et qui permet de se retrouver à la garden party d’été entre amis.

Nous ne savons pas si lesdits copains connaissent vraiment la situation du groupe ou si au contraire, c’est une sorte de manière pour conjurer le sort. Toujours est-il que notre actionnaire ne se démonte pas devant la caméra, pour indiquer que le groupe sur-performe par rapport au marché et en particulier coté colis, choisissant de parler de chiffre d’affaire en oubliant de parler résultats.

Dans le temps, nos anciens commerçants disaient toujours qu’il ne fallait pas confondre chiffre d’affaire et bénéfice. Dans une activité qui nécessite des hommes et des investissements, il est plus facile de faire du chiffre d’affaires que de la marge.

Rien ne change, il faut finalement croire que tout va bien, on peut continuer le bling-bling entre copains… Les salariés attendront !

Nous sommes sans doute à coté de la plaque, trop incultes, avec une vision datée de l’entreprise mais il nous semble qu’en premier lieu, ce qui compte, c’est qu’elle soit gérée « en bon père de famille ».

Mais en bon père de famille, ce n’est pas « en famille ».

Car nos actionnaires se sont « entourés ».

Nous vous avons déjà parlé de Madame PONS, qui s’occupe d’un festival ou l’entreprise intervient beaucoup, beaucoup trop sans doute, nous y reviendrons bientôt, mais du coté PAUMIER, la stratégie est la même.

Madame à la photo, la fille au marketing Hopps et dédiée particulièrement à la marque WATTS, un fiston anciennement aux commandes de la gestion immobilière du groupe Hopps et qui est aujourd’hui directeur général de Hoppstore, le futur réseau des maisons de la presse appliqué au courrier et colis et enfin un second, Fleuriste à Aix, s’est vu attribué le marché du fleurissement du siège et des événements « maison ».

C’est qu’on appelle, à Aix, le circuit court ! Personne, lors des repas dominicaux, ne se trouve de cette manière, écarté du sujet.

A ce niveau, et surtout à l’examen des résultats, il est démontré qu’a vouloir privilégier les proches au lieu de s’entourer de gens compétents, là encore, ça finit par se voir !

Quand au fleurissement… est-ce qu’un chariot de distribution à la place du bouquet de fleurs quotidien ne serait pas plus profitable à l’entreprise ?

Nous n’avons rien contre les fleurs, mais n’est-ce pas superflu lorsque l’entreprise ne peut pas investir pour ses besoins de base ?


En savoir plus sur Syndicat C.A.T. Milee (ADREXO)

Subscribe to get the latest posts sent to your email.