La C.A.T. – ADREXO est attaquée en justice par le comité d’entreprise qui prétend être diffamé et dénigré dans des articles diffusés sur ce site, en particulier dans ceux traitants des activités des « bronzés ».
Un premier jugement a débouté le comité d’entreprise, en référé, et une seconde décision en appel est attendue puisque le Comité d’Entreprise a interjeté appel de la première.
Une autre procédure au fond est également en cours mais n’a pas encore fait l’objet d’une audience.
Ces procédures judiciaires visaient en fait à tenter de museler notre syndicat qui informe les salariés, sans doute un peu trop ! C’est une méthode assez classique, nommée « procédures baillons ». Pour tenter d’en renforcer l’impact et d’intimider d’avantage, la procédure visait notre syndicat mais aussi Michel Dhote, son secrétaire général, Salim Henouda et Philippe Viroulet, élus au C.E.
Nous étions très confiants sur les résultats de ces procès, surtout qu’on ne peut pas dire qu’elles ont été menées de main de maître, puisqu’il a fallu s’y reprendre à 3 ou 4 fois pour réussir à respecter la procédure. Juste en assignations payées aux huissiers, c’est sans doute plus de 5 000 euros dépensés par le C.E. Et nous ne parlons pas des divers honoraires dont nous ne connaissons pas le montant, puisque le secrétaire à toujours refusé de le dévoiler.
De plus, voyant que nous gênions, et étions attaqués, nous avions mis les bouchées doubles, et le but recherché par le comité d’entreprise n’était donc pas atteint. Zut, quand ça veut pas… Mais, que voulez vous, il y a ceux qui sont aux ordres et tremblent de peur, et il y a les autres, dont nous faisons partie, qui vont réagir en mettant le doigt, un peu plus encore, sur les sujets qui font mal.
De ce point de vue, ce n’est pas très compliqué, nous en avons tout un stock en attente et l’embarras du choix.
Dans une des dernières procédures, le Comité d’Entreprise avait associé des élus qui, à titre volontaire, s’étaient personnellement joints aux accusations de l’institution.
Le 18 décembre 2019, à la fin de la réunion ordinaire du comité d’entreprise, le trésorier, décidément sur tous les fronts ce jour la, devait suppléer le secrétaire en manque d’inspiration et de courage. Il avait reçu mission de solliciter le président du C.E. afin d’obtenir l’organisation immédiate d’un C.E. extraordinaire qui devait durer 3 minutes.
Après accord du Président et de l’assemblée, il fut indiqué que le comité d’entreprise entendait se retirer, Coïtus interruptus en quelque sorte. Et donc se désister de toutes les actions en cours contre le syndicat C.A.T., Michel Dhote, Salim Henouda et Philippe Viroulet.
Seulement, voila, il serait trop simple d’accuser, de traîner dans la boue une organisation syndicale et ses membres, de nuire à son image, d’annoncer notre future condamnation, de lui faire dépenser d’importants frais de défense, de déplacement, et ensuite de se désister au dernier moment, juste avant de voir arriver le jugement « boomerang ».
Nous n’entendons pas nous laisser traiter ainsi et supporter des accusations mensongères et des dénonciations calomnieuses. N allons désormais nous occuper de rappeler au comité d’entreprise et aux élus associés aux procédures, qu’il ne faut pas nous accuser à la légère et qu’il faut ensuite assumer ses actes.
L’instance n’est donc pas clause et notre syndicat, mais aussi les membres de la C.A.T. incriminés à titre personnel, vont désormais se battre pour obtenir la condamnation de tous les protagonistes. Ils pourront s’apercevoir, au passage, qu’ils ont été manipulés afin de les associer à une débâcle assurée pour finalement un résultat tout autre qu’ils espéraient…
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Bonjour,
Je me demande comment ils vont payer……
bonjour avec des cheque cadeau bonne fete de fin d annee a toutes et tous
bien sur mon commentaire est la reponce a la question de debril
BONSOIR
BIN BIN BIN INADMISSIBLE
JOYEUX NOËL à toute votre équipe !
Vous avez raison , c’est trop facile d’attaquer des personnes et de se retirer lorsque ça va plus loin . On appelle cette pratique de la lâcheté.
Il ne faut pas s’arrêter en si bon chemin .
Personnellement je trouve que les distributeurs ne pourrons pas dire qu’ils ne sont pas renseignés sur l’Entreprise .
On ne peut pas en dire autant des autres organisations syndicales qui passent leur temps à se critiquer entre elles .
Bonne continuation …………..
Bonjour, bon noël également et vous avez raison, les organisations sont plus fortes ensemble pourtant mais quand les pratiques deviennent inacceptables, il faut agir et nous n’abandonnerons pas nos combats.