Finalement le début de cette année 2020 aura été très particulière et pleine de surprises.
Un nouveau coronavirus, qui s’invite à la frontière entre l’hiver et le printemps, a changé la donne.
Toutes et tous l’avons vécu en direct.
Par contre, ce que vous n’avez pas vécu en direct, c’est la tentative désespérée des sous-doués, et leurs « porte-flingues », de prendre la main sur notre section syndicale C.A.T. chez Adrexo.
Jamais fatigués les gonzes… Les barbouzes de la bouse !
Ces valeureux chevaliers de « l’ordre du ridicule » ont, avec l’aide d’un ou plusieurs traîtres à la C.A.T., imaginé un scénario « qui aurait pu marcher ». Ben oué, comme pléthore de projets mis au placard, celui-ci attendra et coûtera bien moins cher que certaines visions révolutionnaires contemporaines et économiques.
Bref, on s’égare mais pas tant que çà !
Ils ont laissé faire au premier tour des élections professionnelles dans l’entreprise, puisqu’ils se doutaient bien que la C.A.T. allait faire un bon score. Tout le monde s’en doutait bien, sauf les syndicats minoritaires qui ont cherché à jouer les gros bras, en oubliant de faire fonctionner leur cerveau et de parler d’eux. Les pauvres y z’ont pas compris…! En même temps…
Il était évident qu’en touchant du doigt des sujets importants, que personne n’osait évoquer, les salariés allaient apprécier cette manière de faire du syndicalisme résolument moderne et active.
La direction a donc imaginé que ce bon résultat de la C.A.T. pourrait lui permettre, si le syndicat, lui était vendu ensuite clés en main, d’obtenir facilement des signatures sur des accords d’entreprise « maison ». Sans oublier pouvoir avancer sur des projets dont l’intérêt n’est certainement pas en faveur des salariés. Peu probable…
Puisque, rappelons-le, pour certaines négos nos 35% suffisent. Sinon, pour les 50% nous avons un allié de poids et déterminant. Pour ne pas dire déterminé ! Les autres organisations syndicales ne pèsent rien devant une alliance pareille. Des cacahuetes, peut-être… Ou… ben rien !
Donc au premier tour, le bon résultat de la C.A.T. permettait d’espérer en ce sens.
Restait le second tour, qui devait propulser dehors certains élus de la C.A.T. du C.S.E. Tous ceux qui n’auraient certainement pas goûté ces magouilles.
Une poignée d’éléments internes, qui avait cédé aux sirènes directoriales, a donc communiqué un mot d’ordre à quelques dizaines d’électeurs, afin qu’ils opèrent des ratures sur la liste lors du vote et particulièrement sur les têtes de liste.
Confrontés à des insuffisances professionnelles, souvent chroniques, ces apprentis félons croyaient pouvoir se sauver en vendant l’âme du syndicat.
Dans ce type d’élection, plus de 10% de ratures engendrent l’élimination du candidat et ce sont les suivants de liste qui prennent la place.
Donc, ces électeurs de la C.A.T. dirigés ont été convaincus à cause d’arguments fallacieux indiquant, en particulier, que les candidats en tête de liste ne respectaient pas les valeurs du syndicat (ou plutôt les valeurs de la direction…). Vaste programme…
Finalement, quelques uns se sont rendus compte du subterfuge et ont renoncé. A quelques voix près, la manœuvre a finalement échoué sur tous les candidats sortants qui étaient promis à l’exclusion. Sauf un élu placé en cinquième position qui a fait les frais de la manœuvre. Malheureusement !
Qu’à cela ne tienne, perdu pour perdu, il fallait s’en débarrasser et des courriers ont été diligentés en ce sens.
Là encore, l’amateurisme en vigueur a mis en évidence des entorses statutaires, qui ont éveillé l’attention sur un fonctionnement général contestable, qui visait à ne rien tolérer à l’intérieur du syndicat et, désormais, à museler (jeu de mot incompréhensible pour les non-initiés et on s’en excuse) son expression légitime.
Après audition de celui qui s’était fourvoyé dans l’organisation par cette manœuvre, dans un but strictement personnel et intéressé, entraînant avec lui quelques complices mal intentionnés. La Confédération Autonome du Travail a pris la décision de faire cesser ce fonctionnement, afin de redonner au syndicat d’Adrexo sa légitimité et de le rétablir dans un fonctionnement à destination de l’aide aux salariés.
Depuis le début de ces tentatives de trahisons multiples et variées envers les promoteurs des bons résultats électoraux et acteurs au service des collègues, il nous paraissait impossible d’abandonner 35% des salariés qui nous ont fait confiance et qui l’ont fait en raison de la ligne syndicale et éditoriale du syndicat.
Dès le début des témoignages nous sont parvenus. Certaines informations nous ont permis de comprendre le montage machiavélique qui se tramait. Nous avons donc pu anticiper nos réactions.
Tout cela va rapidement se régler. De gré ou de force. Très prochainement, les adhérent(e)s seront amené(e)s à élire un conseil syndical, lors d’une assemblée générale… Bref à retrouver un syndicat serein et structuré comme il se doit.
Nous allons bénéficier, lors de cette remise en ordre, de l’aide active de notre confédération.
Dès à présent, nous avons nommé une partie de nos délégué(e)s syndicaux(ales), qui sont évidemment des personnes sûres et investies pour le syndicat et les salarié(e)s. Aucun doute là dessus !
Elles seront animées par un secrétaire général par intérim.
Ce plan n’aura donc pas eu un effet néfaste pour notre organisation, comme il était envisagé. Bien au contraire, il a mis en évidence l’existence d’intrus qui sont aujourd’hui gentiment écartés. Jusqu’à ce que la raison les rejoigne, sans doute…
Nous pensons que même s’il n’est pas facile de vous informer sur ce regrettable incident, il est évident que nous vous devions cette vérité, afin de respecter notre engagement sur la transparence et la confiance réciproque.
Vous, adhérents, sympathisants, pouvez être assurés de notre implication et de notre volonté d’apporter un vrai progrès social dans l’entreprise.
Nous tenons à remercier toutes celles et ceux qui ont contribué directement ou indirectement à cette re(co)naissance qui met la C.A.T. à sa véritable place dans le classement syndical et social de l’entreprise. C’est à dire à la première !
Surtout merci à nos charmants patrons, aidés par quelques valets choisis qui, ne doutons pas, seront aussi « agiles » à essayer de nous détruire qu’à chercher, à tout prix, le dialogue social avec la première organisation syndicale de l’entreprise…
Nous saurons être persuasifs !
La direction devra composer avec des élus ou délégués déterminés à obtenir ce que les salaié(e)s veulent et exigent. Pas d’autres alternatives…
Dans une agence, un Roc aimait une pendule… Ce drôle d’oiseau, ce vieux coucou… Ça faisait des conciliabules chez les cocottes en courroux
Tic, tac…
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BONjour QUE nos dirigeants soient des ESCROCS c est de notoriete nationale ,qu ils attirent dans leur panier a crabes des directeurs , des rocs ou quelqu autres personnages qui restent chez ADREXO parce qu ils ne savent pas faire autre chose c est EVIDENT s ils veulent mener a bien leurs nauseabonds projets mais comment ce fait-il qu ils puissent se maintenir a la tete d une entreprise comme ADREXO ????
D autre part dans l article de ce jour il y a beaucoup d interrogation et d incomprehension VU de loin il y a des choses qui m echappent PEUT ETRE il eut fallu donner des noms mais difficile ????? IL n y a pas de sentiments a avoir contre ceux qui pourrissent le travail des distributeurs !
Bonne journee Jean BELLAMY
Bonjour,
Il y aura des gens qui vont se reconnaître et l’attitude de la direction n’est pas nouvelle effectivement.
Ce qui change, ce sont les syndicats en face qui sont beaucoup plus déterminés !