Lors du dernier C S E, un des élus de cette déjà vénérable institution,a interpellé la direction sur le fameux « Drive Local ».
Question simple, basée sur un constat du terrain ! Où en est-on avec le Drive Local ? Question subsidiaire : comment se fait-il que cette éminente idée ne trouve pas son public ? Bien que ce type d’activité a le vent en poupe ???
Comme de bien entendu la direction biaisa la réponse, en expliquant que la patience était la mère de toutes les vertus…
Pourtant…
Judicieusement mise en place pendant le confinement, cette activité pleine de ressources, a eu pour but de rapprocher clients et petits fournisseurs locaux, leur facilitant ainsi leur business, en apportant des solutions pratiques et peu coûteuses quant à la livraison de leurs produits…
Une très belle initiative qui a été soutenue par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Marseille. C’est dire !
Jusque-là, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Petit passage sur la chaîne France 3 locale. Même Charlotte (Mme Pons himself) donna de sa personne en jouant le rôle de la cliente satisfaite et émerveillée qu’une société ait pu penser à une telle chose. C’est la moindre des choses, du moins il nous semble…
Le rôle était important et devait nous faire croire que tout ça était indispensable pour nous sauver de l’après covid, tout ça, tout ça… Croire, plutôt nous faire croire que c’était d’utilité publique… Pensez-vous !
Inutile de s’aventurer sur des chemins glissants… D’autant que nombres d’initiatives du même type ont vu le jour et quelques-unes ont prospéré…
Pour nos génies des affaires, c’est la moindre des choses.
Sur ce coup là, ils ont allègrement mis la charrue avant les bœufs…. Ben oui, quand on développe une activité il y a (et c’est la base de ce que l’on vous apprend dans les écoles de commerce), l’étude de marché, la faisabilité et la mise en perspective des investissements (dépenses à engager), etc… Mais là, nous sommes dans une autre démarche : La rentabilité tout de suite (il ne faut pas croire que ce soit un mot vulgaire ou grossier)…
Pour ADREXO, que nenni, nous sommes partis au combat avec, je ne vais pas vous sortir la formule… et le couteau, cela serait, je pense, un chouïa déplacé…
Donc, nos génies de la finance et du commerce… ont lancé le DRIVE LOCAL en oubliant les règles de base. Résultat…
Aussi, il y a quelques jours, nous avons eu le regret d’apprendre que le « DRIVE LOCAL »… était à l’arrêt.
En épitaphe, nous pourrions écrire.
Une idée géniale qui n’a malheureusement pas survécu à l’appétit brouillon et à l’incurie de ses concepteurs.
Si cela s’arrêtait là, non, ils ont fait encore plus fort…
Vous les connaissez maintenant, rien ne les arrête, surtout en matière de stratégie … Ils n’ont (pour aller au bout du ridicule…), pas hésité à faire imprimer et distribuer un link en centaine de milliers d’exemplaires, juste la semaine ou le Drive Local aura cessé son activité…
Belle organisation !
Là encore quel génie….
Alors qu’il aurait peut-être (mais je ne suis pas un génie), plutôt fallut commencer par là… Enfin il me semble…
Quel gâchis, quelle gabegie. Que d’argent encore dépensé, alors que notre société se meurt, que nos forces vives (les distributeurs), tremblent à chaque fin de mois, pour savoir s’ils vont être payés, et si, leurs secteurs seront payés à leur juste temps !!!
Il serait grand temps que nos grands patrons prennent la mesure des choses et s’occupent de remettre ADREXO sur les rails plutôt que de partir ainsi, avec autant de légèreté, sur des sentiers trop escarpés pour eux…
En savoir plus sur Syndicat C.A.T. Milee (ADREXO)
Subscribe to get the latest posts sent to your email.
La semaine dernière et encore au jour d’hui je distribue sur Lyon dans le 3éme arrondissement des links qui louent la stratégie et les vertus du Drive local, ce que sur la région lyonnaise on en a jamais entendu parlé de son existence
Outre la dépense du document on nous payent pour les distribuer.
C’est vrai j’oublie que la société ADREXO roule sur l’or (m d r )
M. CARLE
Bonjour esqu il y a u des salaires verser se matin merci
Bonjour,
Non, ce ne sera pas pour aujourd’hui !