Petit à petit, et de plus en plus fort lorsque la situation sanitaire devient plus angoissante, le télétravail s’impose comme une solution pour éviter des rassemblements dans les entreprises.

Le ministère du travail, a indiqué vivement souhaiter la mise en place d’accords visant à déterminer le nombre de jours de télétravail possible dans chaque entreprise.

Ce nombre minimum ou maximum de jours en télétravail devrait être déterminé par accord d’entreprise.

Pour Elisabeth Borne, actuel ministre du travail, « Le recours au télétravail est un mode d’organisation pertinent ».

En effet, il permet de limiter les transports, de limiter les contacts sur le lieu de travail, et ainsi, de limiter d’éventuelles sources de contamination.

Elle plaide aussi pour la mise en place d’horaires étalés pour l’embauche et la débauche, permettant d’éviter les regroupements, par exemple dans les transports en commun.

La ministre souhaite favoriser le télétravail mais aussi « maintenir l’efficacité des organisations de travail et prévenir les risques liés à l’isolement des salariés.« 

Enfin, pour elle, « Cet équilibre doit se construire dans le dialogue social au sein de l’entreprise ».

En revanche, les salariés ne seront pas tenus de télétravailler, c’est du moins ce qu’a annoncé le Président, Emmanuel Macron, dans son allocution de mercredi.

Il indique souhaiter, lui aussi, encourager 2 ou 3 jours de télétravail par semaine, à travers une négociation  « au plus près de l’entreprise ».

Cette nouvelle organisation du travail présente des avantage mais aussi des inconvénients qu’il faut analyser sereinement. A la C.A.T. Adrexo, nous y sommes disposés et sommes prêts à engager les négociations nécessaires.


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