Nous vous avons laissés, dans le premier épisode, avec Pippo et Mario champions du monde de l’arnaque et du remplissage de leurs poches.

Leurs successeurs aux postes mais au nouveau C.S.E., qui a remplacé le C.E., Nous mènent directement au Prix Nobel de l’incompétence et du mensonge répété. Nous laisserons pour le moment la bêtise, puisque nous y consacrerons un épisode « spécial », tant cette activité a été très dense en si peu de temps de mandat.

En effet, 6 mois c’est court quand on étale ses compétences mais cela peut être très long quand on subit le niveau maximum de l’incompétence.

Au C.E. nous avions comme secrétaire Leonardo Milone (F.O.) et comme trésorier Jacques Comets (C.F.E.-C.G.C.).

Au C.S.E, nous avions le secrétaire José Miranda (C.F.E.-C.G.C.) et la trésorière Véronique Bourbon (F.O.). Incroyable, non ?

Les mêmes syndicats à la tête de l’instance…

Vous nous direz que ce sont les élus qui votent pour former le bureau. Oui, c’est vrai. Mais pourquoi les élus ont remis les amis des escrocs en place ?

La première raison, est que les émissaires de Farce Ouvrière et de la C.F.E-C.G.C ont persuadé certains élus , toujours les mêmes, que si le bureau du C.S.E. échappait à leur syndicat respectif, ils n’auraient plus de récompenses. La récompense chez les élus « vertueux » est une sorte de GRAAL syndical ?

La récompense est souvent pécunière et peut ressembler à des heures de réunion à ne plus en finir en surchargeant inutilement un ordre du jour. La ruse est de mettre 80 questions à l’ordre du jour pour ne parler, au bout du compte de rien. Et surtout pas des choses essentielles dévolues au C.S.E.. Mais cela permet aux »copains » de charger leur compteur d’heures.

Des trucs inutiles quoi !

Il faut juste s’appuyer sur le duo Averell (secrétaire) et Nullity Jane (trésorière) qui ont repoussé très loin les limites de l’incompétence en matière de gestion d’un C.S.E..

Des exemples ?

Non respect répété du règlement intérieur. Délits d’entrave à gogo, comme retirer, par deux ou trois fois un point à l’ordre du jour sans vote des élus ou alors décider sans l’accord des élus de faire fabriquer 9 chéquiers cadeaux pour arroser ses amis.

Pour ce dernier point, il avait avec l’ancien trésorier du C.E. recelé, en 2019, 8 chéquiers cadeaux détournés par Milone aux assistantes de direction régionale. Notons que ces assistantes avaient déjà reçu un chéquier cadeaux, créant ainsi une discrimination et une plainte de notre part.

Le mensonge est une spécialité de José Miranda. Nous osons dire que c’est plus qu’une spécialité, c’est une religion. Mentir pour cacher son incompétence et ses manquements criards.

Imaginez que les cadors du bureau du C.S.E., évoluant dans le vide sidéral qui les entourent, n’ont pas trouvé mieux de confier à l’ancien trésorier escroc du C.E. la gestion de vos chéquiers cadeaux. INQUIETANT, non ?

Dans le même élan, les deux comiques, l’un à l’assaut d’une reconnaissance jamais atteinte et l’autre tracassée par le paiement du crédit de sa Vivo, on osé écrire aux élus, à la direction et enfin aux actionnaires pour remercier ces derniers d’avoir tenu parole en payant les sommes revenant au budget de oeuvres sociales six mois après la date butoir !!!!!

Vous avez bien lu…

Exaspérant quand on sait que sans l’intervention musclée de la C.A.T, vous auriez dû avoir qu’un chéquier de 40 euros… et peut être un autre en janvier !

Dans ce même mail, le secrétaire précisait en substance que le bureau (des fainéants) avait géré l’énorme charge de travail pour ce qui concerne la gestion du dossier « chéquiers cadeaux alors qu’il n’a rien fait du tout. Le bureau (des…) ont sous-traité illégalement ce travail à un individu qui a plusieurs plaintes aux fesses.

Mensonges, magouilles, recel, délits d’entrave, détournements du budget de fonctionnement, incompétences à répétition et on en passe…

Les signalements ont été faits à la direction de l’entreprise comme à la justice. Nous attendons la suite !

Tout le monde nous prenait pour des dingues quand nous avions dénoncé Milone et sa clique. Milone a été rattrapé par la patrouille, ses complices suivront !

Aujourd’hui, c’est officiel, l’entreprise prépare le licenciement de Milone, le C.S.E. ne pourra éviter, à moins de se rendre complice, de poursuivre l’intéressé pour récupérer les fonds volés. Nous verrons bien comment ceux qui nous traitaient de menteurs et nous attaquaient en diffamation précédemment, feront pour vous expliquer qu’ils se sont trompés.

En route vers le prochain C.S.E. et rendez-vous avec les futurs « héritiers » des escrocs qui ont régné pendant des années à la tête de l’instance.