Face aux critiques constantes visant à dénoncer l’absence de négociation dans l’entreprise, la direction a décidé d’avancer le calendrier.

Nous vous avions déjà fait part de notre mécontentement face à une direction qui se refusait à ouvrir des négociations et prévoyait un calendrier débutant cet été.

Finalement, début de rétropédalage, c’est dans l’urgence, qu’une réunion, hier, en a décidé autrement.

Avec une communication très tardive des éléments, il a été évoqué hier trois sujets :

• L’accord handicap,
• l’accord égalité Homme – femme,
• et la création d’une commission sur le temps de tri des courriers.

De prochaines réunions viendront construire deux nouveaux accords pour les deux premiers sujets, non pas sans intérêt pour la direction, en particulier sur le handicap, puisque les chiffres du nombre de salariés reconnus handicapés est en forte baisse après pourtant avoir connu des taux beaucoup plus élevés que des entreprises similaires.

Mais le sujet qui est d’avantage d’actualité et directement lisible pour les distributeurs de publicités est le paiement des heures de tri du courrier pour lequel la direction annonce qu’elle souhaite prendre en compte cette réelle difficulté et comprend – aujourd’hui – la demande.

Toutefois, créer une commission, ce n’est pas payer le temps de tri et on peut parfois même penser que cela pourrait revenir à chercher à gagner du temps en étudiant un problème déjà bien connu.

Nous seront donc vigilant pour que cette commission puisse conduire à une décision avant la mise en œuvre des prochaines distributions électorales.

A défaut, il est tout à fait certain que rien ne bougerait avant la même opération, en 2022.

La commission aurait déjà pour objet de déterminer le temps nécessaire pour préparer, tache toutefois difficile, puisque le temps octroyé pour le temps de préparation des publicités par exemple, est aussi très critiquable.

A suivre donc…

Avec une prochaine réunion plus spécifique à la commission « courrier », ce jeudi.