Le numéro 3 arrive avec sa Panacotta…

Le contenu du numéro 3 du « magazine » 150 euros ne devrait pas améliorer les commentaires sur l’indigence de contenu :

Nous vous souhaitons un excellent Sudoku….

La direction s’énerve !

Et sort le bâton dans un message adressé aux permanents de l’entreprise qui critiquent ouvertement 150euros.

« Les collaborateurs ne peuvent donc pas tenir de propos injurieux, diffamatoires ou excessifs envers leur entreprise en toute impunité, et ceci est vrai également sur les réseaux sociaux. »

S’il n’y avait que des salariés pour envoyer des messages sur les réseaux sociaux, ce ne serait que moindre mal…

D’ailleurs, certains jouent eux mêmes les pompiers en rassurant d’autres utilisateurs.

Quelques commentaires peuvent paraitre « excessifs » mais sont souvent le reflet d’un constat et d’une vérité.

C’est malheureusement souvent le cas sur les réseaux sociaux, la liberté d’écriture et la rapidité de la diffusion entrainent des contraintes nouvelles et des salariés spécialisés sont généralement la pour modérer et commenter ces propos, ce qui est très rare de la part de Milee qui laisse les commentaires dans le vide.

Enfin, en ne donnant aucun moyen aux salariés pour que l’opération se passe bien, il ne faut pas s’étonner de subir les foudres des réseaux sociaux et ce n’est sans doute qu’un début !

En fait, il faudrait que les salariés soient volés, que le produit soit autant inaudible qu’indigent et que tout le monde dise que c’est formidable, une sorte de pensée unique imposée…

La situation dans le réseau est bien différente, la confiance est très limitée et les interrogations nombreuses, tout cela entretenu par des constats qui éveillent des questions sur la stratégie et sa mise en œuvre.


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