Pas de redressement judiciaire pour DRIVE TO HOME et pourtant, pas de salaire sur les comptes.

Hier, le directeur général avait trouvé la parade en impliquant les administrateurs judiciaires, la transmission du fichier… (pas encore la Covid et l’Ukraine mais ça pourrait venir) :

“ce process de validation prend un certain temps et ne peut être ni anticipé, ni accéléré. Toutes les parties font de leur mieux…

Cela signifie donc que le même délai est à prévoir fin août et dans les mois suivants.”

DRIVE TO HOME n’est pas – encore – en redressement judiciaire mais cette filiale de Hopps n’a pas non plus respecté la date de versement des salaires puisque personne n’avait encore perçu le salaire qui doit être versé le 1er jour ouvré du mois.

Désormais, c’est le week-end et rien ne se passera avant le 5, au mieux !

Pour cette société de livraison de courses à domicile, pas de validation des administrateurs judiciaires, pas de traitement particulier et donc aucune excuse de cet ordre.

Alors ? Qui est responsable cette fois ?

La démonstration est faite que même sans contrainte administrative, le groupe n’est pas en capacité de faire face à ses engagements aux bonnes dates.

Plus grave encore, les salariés concernés n’ont reçu aucune explication, comme d’habitude


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