Les courriers de licenciement destinés aux salariés dont les agences ne ferment pas arrivent…

Les salariés dont les agences ont fermé avaient été traités fin juillet.

Désormais, c’est au tour des salariés dont les agences ne ferment pas et qui n’ont pas accepté une proposition de reclassement.

Les courriers ont été envoyés et les managers ont reçu la liste des salariés qui restent de manière à pouvoir gérer la production de la semaine prochaine.

Il a été décidé que même si le courrier n’avait pas été encore reçu, les salariés concernés ne travailleraient pas la semaine prochaine sans être pénalisés.

Coté opérationnel, c’est l’inquiétude, car la direction s’est sans doute imaginée qu’il serait possible de faire le même travail que d’habitude avec la moitié des effectifs…

Il va donc falloir solliciter ceux qui restent ! Avec la possibilité offerte aux salariés de refuser un secteur à plus de 20 kilomètres du domicile (mentionné au contrat de travail), et ce, sans que le salarié puisse être sanctionné ou pénalisé, l’exercice s’avère difficile.

C’est d’autant plus problématique pour les TéleZ, Rustica ou autres, qui arrivent comme d’habitude et surtout sur les secteurs sur lesquels il n’y a plus personne pour distribuer.

Autant dire que les abonnés seront nombreux à ne rien recevoir et qu’il est urgent d’aviser les clients des secteurs fermés suite au P.S.E., ce qui, soit dit entre nous, aurait pu (ou dû) être anticipé, mais ce n’est manifestement pas le cas.

Ce n’est qu’en semaine 34, que les flux « devraient » être adaptés.

Rappel :

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