C’est ce qu’affirmait Eric Paumier lorsqu’il est venu devant le comité d’entreprise d’Adrexo, le 17 avril 2019 à Paris.

Il affirmait que les emprunts permettraient de passer un cap difficile, et de sécuriser la trésorerie du groupe pour 3 ans, c’était faux.

Il affirmait que le projet d’entreprise est le même depuis décembre 2016. Ceux qui en ont pris connaissance savent que c’est faux.

Il affirmait que le déploiement des nouvelles activités, aux cotés de l’imprimé publicitaire, étaient mise en place comme le prévoyait le business plan initial, il évoquait sans doute l’absence de matériel pour distribuer, l’absence de suivi possible de la distribution ?

Il affirmait que le groupe aurait pu payer des créanciers en janvier mais qu’il s’était interdit de le faire, « par prudence », c’était faux.

Il affirmait qu’il n’avait pas perçu le moindre centime de la part du groupe alors qu’il est aujourd’hui connu qu’il dirige une entreprise, propriétaire du siège, qui encaisse les loyers.

Il affirmait qu’Adrexo devait progresser en matière de qualité et invente le temps « Max » dans la foulée pour limiter la distribution, il se moquait des salariés !

Il affirmait que le groupe serait à l’équilibre en 2019, c’était faux.

Il affirmait que 12 millions d’euros était remontés d’Adrexo vers le groupe en 2018 au titre des frais de siège et la, c’était vrai !


En savoir plus sur Syndicat C.A.T. Milee (ADREXO)

Subscribe to get the latest posts sent to your email.