Près de Caen, un homme âgé de 46 ans, veuf depuis 6 ans et papa d’un enfant de 18 ans, a mis fin à ses jours, après avoir reçu sa lettre de licenciement.

Pour le remercier de travailler pendant le confinement, des habitants lui avaient offert deux bières.

Contrôlé par son employeur, la Coved, filiale du groupe Paprec, dirigée par Stéphane Leterrier, il accusait un taux d’alcoolémie de 0,19 grammes.

Avec son collègue, lui aussi coupable des mêmes faits, et après 26 années de travail dans l’entreprise, il a été licencié.

Le lendemain, il s’est rendu chez ses parents, il a revêtu ses habits de travail, puis il a logé le canon d’un fusil dans sa bouche et il a tiré.

Il n’a pas supporté ce qu’il a vécu comme une injustice alors que ce « héros du quotidien » comme le disaient les médias pendant le confinement n’avait pas souhaité rester chez lui pendant la crise sanitaire.

Il aurait pourtant pu y boire autant de bières qu’il aurait voulu, mais il a préféré travailler, au service de son employeur, qui vient de le remercier… à sa manière.

Quand comprendrez vous qu’il y a un homme (ou bien sûr une femme) derrière un matricule ?

Ou est l’humanité dans une décision de la sorte ?

Bien sûr, l’entreprise n’a pas souhaité s’exprimer…


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