Actuellement dans la tourmente, le réseau colis d’Adrexo occupe aussi des femmes et des hommes agents de maitrise et cadres pour organiser l’activité.

Nous sommes en contact avec nombre de ces salariés qui, eux aussi, vivent parfois mal les conditions de travail imposées dans les centres d’activité.

Malheureusement, ils sont souvent bridés par des consignes régionales et nationales qui empêchent d’améliorer localement ces conditions de travail.

Des attitudes inacceptables existent, mais elles ne sont pas majoritaires et les responsables cherchent souvent à améliorer l’ordinaire et à obtenir des moyens.

On est loin de l’excellence opérationnelle appelée des vœux de la direction qui pense encore que quelques palettes posées les unes sur les autres et qu’un local de stockage peut convenir à la réception et à la préparation de colis.

Les chauffeurs qui ont parfois travaillés chez des concurrents découvrent un monde à part, très différent, proche de l’exploitation.

Ces encadrants souvent silencieux n’en pensent pas moins et regrettent très souvent cet état de fait.

Nous les aiderons, par des interventions sur les sites, à faire normaliser les conditions de travail et permettre l’accueil de salariés dans des conditions normales.


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