C’est avec regret et une peine non dissimulée que nous relayons le message de notre vénéré dirigeant et néanmoins actuel affameur de milliers de personnes :

De : Anne-Laure REMOLEUX <anne-laure.remoleux@hopps-group.com>
Envoyé : Tuesday, October 29, 2024 10:39:10 AM
À : TOTAL_DIFFUSION_SIEGE <total_diffusion_siege@hopps-group.com>
Objet : De la part d’Eric Paumier : ANNULATION DE L’INVITATION AU POT DU 6/11

Chères collaboratrices, chers collaborateurs,

C’est avec regret que je vous informe de l’annulation du pot prévu le 6 novembre prochain. 

Cette décision a été prise en raison de préoccupations concernant des menaces physiques à mon encontre, à l’encontre de ma famille et qui pourraient aussi compromettre la sécurité des collaborateurs. 
Je me réserve le droit de mettre en œuvre les actions juridiques contre ces personnes. 

Notre souhait était de partager simplement un verre entre collègues à la cantine d’Hopps pour nous dire au revoir. En annulant cette réunion, nous espérons contribuer à apaiser le climat.


Nous sommes désolés et vous remercions de votre compréhension.

Bien à vous,

Eric Paumier


Ce qui devait être un moment convivial pour échanger de bons souvenirs s’est transformé en « pot », c’est tout de suite moins chic.

Nous n’aurons donc pas accès aux agapes promises, adieu foie gras et petits toasts délicats, nous n’irons pas fêter les 18 000 suppressions d’emplois en deux ans et surtout les 10 000 dernières, il y avait pourtant matière à faire une belle fête.

Nous comprenons le mécontentement d’Eric qui se dit menacé et il y aurait donc eu des messages inquiétants envoyés, sans doute par quelques personnes sans un sou, et/ou sans nourriture voir même interdites bancaires et/ou sous la menace d’expulsion et qui pourraient avoir mal parlé… Quelle indignité…

Nous attendons avec impatience les actions juridiques en réponse… Il est vrai qu’il serait dommage de ne pas finir le travail en jetant ces malandrins peu reconnaissants en prison.

Si par impossible, c’était l’absence d’action judiciaire qui venait contrarier notre « ricou 1er », nous lui indiquons qu’il ne s’inquiète pas trop, il sera prochainement tout à fait comblé de ce point de vue.

Il parait par ailleurs, mais chut…., que le nombre de réservations au petit pince-fesses prévu laissait prévoir une réunion très très limitée en nombre de convives qui, eux même, avaient mal vécu l’invitation à dîner avant d’être lourdés sans ménagement.

Nous vous engageons enfin à ne pas transmettre votre courroux au patron et encore moins sous la forme de menaces, il vous en cuirait, n’est ce pas !


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